29 décembre 2014

La traditionnelle fête des Rois, le 10 janvier 2015 !


Les gens du pays renouent avec l’histoire, le folklore et les traditions d’antan.



Vous êtes invités à découvrir et redécouvrir les danses traditionnelles,  à venir rendre hommage à Leurs Majestés, le Roi et la Reine, et à marquer avec éclat la fin des fêtes et le début de la nouvelle année!

Les convives lèveront leur verre de petit caribou à la santé de tous en 2015, se régaleront de la galette des Rois, danserons des quadrilles et rigodons avec l’ensemble folklorique LE GRAND PORTAGE, et s’en donneront à cœur joie!

On peut se présenter en costume d’antan et venir EN GROUPE OU EN FAMILLE pour célébrer la magie et la féerie de la traditionnelle fête des Rois, cette vieille coutume qui nous vient de la nuit des temps !

Les amis, les gîtes et les auberges se feront un plaisir d’héberger ceux et celles qui seront venus de loin pour participer aux grandes festivités royales.


Pour plus de renseignements, cliquer ICI

28 décembre 2014

francophobie


Chaque fois qu'au Québec, vous voyez un nom non francophone d'entreprise, il s'agit d'agression culturelle, de francophobie, de pollution visuelle... « The UPS Store » est un exemple de mépris!


Jean-Paul Perreault a partagé la publication de Bernard Campeau.
(Colligé sur Facebook) AL14362

2014 : l'ultime offensive des NéoLibéraux contre le peuple


Le front du pétrole...Le front du pétrole...

Le front du pétrole...Le front du pétrole...
L'événement de l'année n'est pas le double attentat terroriste de Richelieu et d'Ottawa, ni l'affaire Ghomeshi, c'est la prise du pouvoir au Québec par les libéraux de Philippe Couillard. On ne l'avait pas vu venir, mais il s'agit de bien plus qu'une simple alternance des partis traditionnels au pouvoir et qu'un désaveu du Parti québécois et de la souveraineté.

L'offensive des NéoLibéraux


Tout se passe en fait tel que prévu. L'objectif des NéoLibéraux, ici comme ailleurs, est clair : c'est la mainmise de grandes entreprises intégrées sur l'ensemble des ressources et la concentration de la richesse entre les mains d'un groupe de plus en plus restreint de joueurs.

Pendant des années, les NéoLibéraux ont mis en place tous les outils pour y parvenir : le contrôle de la monnaie par les banques privées, l'endettement des États et des particuliers, les agences de notation, la spéculation boursière, les outils de contrôle économique internationaux (OMC, BM, FMI, G8 et G20, ententes de libre-échange), la légalisation de l'évasion fiscale, les baisses d'impôt pour les entreprises, la rémunération des dirigeants exempte d'impôt, le contrôle des richesses naturelles, l'or noir et les pétrodollars, le blocage des protocoles de réduction des gaz à effet de serre, l'encerclement de la Russie par l'OTAN, la guerre contre le terrorisme, le contrôle des médias de communication et des partis politiques dans le but de contrôler les élections et les gouvernements, etc.

Les NéoLibéraux sont maintenant parvenus à la «solution finale»: le démantèlement de l'État providence ou redistributeur de la richesse, de l'État social, au profit d'un État purement contrôleur au service des intérêts économiques. On s'attaque donc aux dépenses de l'État, et par le fait même, aux services qu'il dispense, de façon à ramener ces services le plus possible dans la sphère marchande de l'entreprise privée.

Le mantra est simple : nous n'avons plus les moyens de nous payer collectivement tous ces services. Nous n'avons pas le choix de réduire les dépenses et la taille de l'État, de couper dans les emplois, les salaires et les services, d'exiger des utilisateurs une plus grande contribution, de préserver l'économie avant l'environnement. C'est la loi de la juste part, le principe de l'utilisateur-payeur, l'arme de la tarification, l'éloge de la privatisation, le dogme de la primauté absolue des intérêts économiques. La plupart des économistes et analystes se font les prédicateurs de cette nouvelle religion des chiffres désormais bien implantée dans les médias et les écoles supérieures. Ils appellent ça l'austérité ou la rigueur budgétaire. En fait, à travers l'État, c'est le peuple qui est visé, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas de pouvoir si ce n'est celui de travailler pour ces grands patrons et de consommer leur camelote. La vérité, c'est que la richesse produite se concentre de plus en plus entre les mains de quelques uns et que ce sont précisément ces riches qui ont appauvri l'État et qui veulent maintenant appauvrir et endetter encore davantage les citoyens de tous niveaux. Et nous livrer tous sans défense aux conséquences inestimables du réchauffement de la planète et de la destruction des ressources indispensables à la survie de notre espèce.

Cette «solution finale» est à l'oeuvre déjà depuis quelques années en Europe, où des pays comme la Grèce, le Portugal, l'Espagne, l'Italie et même la France sont soumis aux politiques dévastatrices de l'austérité. Au Québec, les Libéraux ont toujours été les porteurs du projet néolibéral, mais le gouvernement Couillard, qui a pris le pouvoir en 2014, marque un tournant décisif. Avec Couillard, Coiteux, Leitao, Daoust, Barrette, Bolduc, nous avons affaire au jeu de puissance: on est loin de nos petits libéraux maison, indigènes et magouilleurs, les Normandeau, Beauchamp, Fournier, Moreau et même Charest, qui font figure désormais de valets de service. Les nouveaux maîtres sont riches, indépendants de fortune, banquiers, insensibles, ambitieux, arrogants, apatrides, ils sont issus des lignes majeures de la finance et ont peu de choses en commun avec le peuple québécois : ils sont en mission commandée, pour les banques, pour les pétrolières, pour les intégrateurs, mondiaux ou fédéraux, pour les lobbies, pour les riches. Ils sont dangereux, psychopathes même. En quelques mois, ils ont fait des dommages considérables à l'État et au peuple québécois, à notre système de santé, d'éducation, de garderies, à notre fonction publique et à nos institutions culturelles, aux familles, aux régions, aux retraités, à notre volonté collective de favoriser une société distincte par sa culture française, sa solidarité sociale et son souci de préserver son territoire, particulièrement son fleuve. Et ce n'est que le début, car s'ils ont un cœur, ils ne l'ont pas à la même place que nous.

La réponse du peuple québécois


Dans un premier temps, il est normal que la majorité des Québécois se soit montrée favorable à des mesures pour éliminer la bureaucratie, le gaspillage, la corruption et le conservatisme qui ne cessent d'alourdir les charges qu'on impose aux contribuables. Tout le monde convient que des mises à jour importantes s'imposent un peu partout mais convient également qu'il faut réformer et non détruire. Des signes évidents sont apparus au cours des derniers mois qui indiquent que la guerre déclarée au peuple par le gouvernement Couillard risque fort de mal tourner. À mesure qu'ils sont atteints dans leur vie concrète, les citoyens, les réseaux, les institutions, les régions se mobilisent, s'insurgent : pompiers, cols bleus, centrales syndicales, médecins, professeurs, fonctionnaires, garderies, municipalités, régions, groupes communautaires et comités de citoyens, conservatoires de musique, revues scientifiques, couples infertiles, etc.  À peine 16% des Québécois croient encore que les Libéraux atteindront l'équilibre budgétaire et plus de la moitié ne croient plus à la «nécessité absolue » d'accorder le droit de passage au pétrole des sables bitumineux. Le retournement imprévisible de l'opinion publique qui s'est produit dans le dossier du pétrole, des oléoducs, du port de Cacouna, des gaz de schiste est un signe avant-coureur de la résistance en profondeur d'un peuple issu, on a tendance à l'oublier, de la Révolution tranquille. La réponse des citoyens à la mise de Gabriel en témoigne: c'est un événement marquant de l'année selon moi.

Et tout porte à croire que la colère ne fera qu'augmenter. Les coupures annoncées ne sont pas encore faites et risquent de rapporter beaucoup moins que prévu au gouvernement. Par contre, les pertes d'emplois, les coupures de salaire et de services, les hausses de tarifs, s'ils font l'affaire des patrons dans l'immédiat, vont infailliblement affecter le pouvoir d'achat des consommateurs et donc la croissance économique. L'endettement est à son plafond et, sans argent pour acheter la production, l'économie s'effondre. La crise sociale, économique et finalement politique est inévitable. La résurgence, ici et ailleurs, d'un djihad extrême, est à sa façon une manifestation violente de ce désespoir vis-à-vis cette guerre néolibérale contre le peuple, bien plus qu'une conversion religieuse au Coran. À nous de prendre l'initiative d'une vraie solution, celle de l'espoir et non du désespoir.

Les voies de sortie de crise


Les petits despotes comme ceux qui nous gouvernent en ce moment ne savent pas reculer: ils ont perdu la tête et vont s'entêter dans leurs certitudes: leur chef, Philippe Couillard, ne les contrôle déjà plus. L'affrontement est inévitable. À Ottawa, les conservateurs de Harper, qui sont les néo-libéraux de service, risquent fort d'être réélus, grâce à la division et à la faiblesse de l'opposition. La course au pétrole sale continuera des plus belles, en dépit des surplus de pétrole en ce moment, et nous risquons sort d'en subir les conséquences.

Au Québec, la seule inconnue politique est l'arrivée de Pierre Péladeau à la tête du Parti québécois, avec la souveraineté comme objectif premier. Ce nouveau joueur, dont l'appui populaire, mais aussi le statut, sont sans précédent, peut modifier la trajectoire de tous les acteurs en présence : il représente une possibilité, la dernière sans doute, de débloquer l'impasse du statut politique du Québec, sans toutefois apporter de réponse définitive à l'impasse du néolibéralisme.

Je ne vois pas d'autre voie satisfaisante de sortie de crise qu' un recours à la souveraineté du peuple, s'exprimant par une assemblée constituante non partisane, pour permettre une réforme en profondeur de nos institutions démocratiques (économiques, sociales et politiques) et une reprise effective du pouvoir par le peuple, et pour inscrire ces nouvelles règles du jeu dans une première véritable constitution démocratique du Québec. Et cela, c'est une Révolution...tranquille espérons-le, mais c'est la seule véritable solution. Preuve que c'est possible : certains pays ont commencé à le faire avec d'étonnants résultats : la Bolivie, l'Équateur, les pays bolivariens d'Amérique latine en général, l'Islande, et peut-être la Tunisie.

Roméo Bouchard
Roméo Bouchard, citoyen  constituant, Saint-Germain-de-Kamouraska. 27 décembre 2014. 

22 décembre 2014

Une carpette anglaise, Philippe Couillard s’essuie les pieds sur le Québec !



17 décembre 2014
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Carpette anglaise, le premier ministre du Québec, Philippe Couillard veut faire du Québec, de la francophonie et de la langue française une carpette anglaise.

En entrevue au téléjournal de Radio-Canada avec Céline Galipeau, il a déclaré que la place du Québec, du français et de la francophonie sur les grandes tribunes ou forums internationaux et les colloques scientifiques se limitait à un bref paragraphe d’introduction en français… pour ensuite s’occuper en anglais des vraies affaires, des vrais enjeux!

Un bref paragraphe au début avec un peu d’humour! Voilà ce que le premier ministre du Québec recommande à toute la diversité culturelle mondiale comme place à l’international. C’est du moins ce que lui entend faire dorénavant pour réparer son attitude d’exclusion à la conférence internationale Arctic Circle dans la capitale islandaise, Reykjavik, où il a refusé de parler en français à un auditoire de représentants de plus de trente pays. On se rappellera le tollé qu’avaient soulevé son attitude et ses explications humiliantes pour tous et toutes!

En se comportant en carpette anglaise, Philippe Couillard invite, en appui à l’anglicisation planétaire, l’humanité à affaiblir sur les plus grands forums la diversité culturelle mondiale. Bref, à s’essuyer les pieds sur le Québec!

Adresses utiles :

http://www.premier-ministre.gouv.qc.ca
Philippe.Couillard@plq.org

Source :

Jean-Paul Perreault, Président
Impératif français
Recherche et communications

Le saccage du Québec doit cesser!

Chapitre 3 : Le saccage du Québec doit cesser!




Impératif français veut renflouer les coffres de l'État en mettant fin au vol systémique!

21 décembre 2014
Plaque de l'Ontario Non aux résidentes et résidents fantômes! Oui aux citoyennes et citoyens à part entière!

En cette ère d’austérité, sans précédent, où le premier ministre du Québec et ses ministres, obsédés par l’atteinte du déficit zéro, attaquent de plein fouet la démocratie citoyenne en déstructurant les régions du Québec et en appauvrissant sa population à outrance, Impératif français offre, sur un plateau d’argent, au gouvernement Couillard un moyen inédit de renflouer les coffres de l’État.

Et ce moyen est d’une simplicité renversante : Revenu Québec, les municipalités de l’Outaouais, les corps policiers municipaux, la Sûreté du Québec et la députation régionale n’ont qu’à unir leurs efforts pour arrêter le trafic identitaire et la fraude fiscale d’Ontariennes et d’Ontariens qui, bien que résidant au Québec, paient leurs impôts en Ontario privant ainsi le Trésor public du Québec de plusieurs millions de dollars et obligeant ainsi les contribuables québécois à payer leur part.

Depuis 2007, Impératif français n’a de cesse de manifester son indignation face à de telles pratiques et son président, Jean-Paul Perreault, dénonce régulièrement « ce manque de responsabilité sociale de la part de personnes qui refusent de payer leurs impôts au Québec tout en profitant des avantages qu’offre une société comme la nôtre, où, jusqu’à maintenant, la majorité de la population a misé sur les notions d’égalité, d’équité et de solidarité sociale ».

Impératif français demande donc, une fois de plus, que les divers ordres de gouvernement prennent les mesures essentielles pour éliminer à la source le « braconnage fiscal » et ainsi faire en sorte que les personnes qui choisissent de s’établir au Québec deviennent des citoyennes et des citoyens à part entière participant pleinement à l’essor de la vie collective du Québec où, faut-il leur rappeler, la langue commune d’usage public est le français!

Les chapitres 1 et 2 du Saccage du Québec doit cesser sont accessibles en cliquant sur les hyperliens suivants :
Chapitre !
http://www.imperatif-francais.org/s1-articles/articles-2014/le-saccage-du-quebec-doit-cesser/
Chapitre 2 :
http://www.imperatif-francais.org/s1-articles/articles-2014/chapitre-2-le-saccage-du-quebec-doit-cesser/

Source :
Jean-Paul Perreault, Président
Mouvement Impératif français

Adresses utiles :

Martin Coiteux







Martin Coiteux
Président du Conseil du trésor
cabinet@sct.gouv.qc.ca

Carlos Leitos







Carlos J. Leitão
Ministre des Finances
ministre@finances.gouv.qc.ca

20 décembre 2014

EN 2013, 42.7% DES 51 959 NOUVEAUX CITOYENS QUÉBÉCOIS N’AVAIENT aucune connaissance du français


Le saviez-vous ?

Pendant que chacun d’entre nous s’occupe à son travail et à son bien-être, des travailleurs n’oublient pas la francisation de notre société.

L’affirmation du début nous est fournie dans le bulletin TRAVAILLER EN FRANÇAIS de la FTQ que je reçois régulièrement. Dans ce bulletin, on en profite pour remercier ces travailleurs qui militent pour le français au travail pour tous les travailleurs sans oublier tous les nouveaux arrivants qu’on aide à se franciser car le français, langue commune, est le ciment qui nous permet de vivre ensemble avec toutes nos différences.

Ainsi, le projet intégrateur de la francisation permet à tous les travailleurs de contribuer à la vitalité du Québec, d’en profiter et d’en augmenter la teneur.

La CSN tient aussi à affirmer sa « Fierté de travailler en français » et organise des journées de francisation en milieu de travail.

La CSQ se préoccupe aussi de « l’intégration sociale et économique des non-francophones ».

En cette fin d’année, réjouissons-nous de toutes ces actions, terre à terre, au niveau du quotidien, actions dont le but est d’assurer le mieux-être de tous nos gens d’ici.

JG Plante

(Colligé sur Facebook)

27 février 2014

« Uni-e-s contre la francophobie »

Déclaration Unis contre la Francophobie

« Au Québec, dans tous les milieux, on condamne de plus en plus la misogynie, l’homophobie, l’intimidation, l’islamophobie et les préjugés contre les Autochtones. Une autre forme de discrimination, tend à réapparaître : la francophobie.

Aujourd’hui, 101 personnalités et plus ont entériné la déclaration « Uni-e-s contre la  francophobie », et unis leurs voix pour la dénoncer ! », se sont exclamés les signataires présents, de nombreuses personnalités du monde politique, social, culturel et communautaire :

... suite : http://bit.ly/1kdNQiW

Les 18 règles de vie du Dalaï-lama

Nous avons pour vous les 18 règles de vie pour voyager du Dalaï-lama. Partagez-le, ce sont de très bonnes leçons de vie !

Dalai-Lama
1. Prenez en compte que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques : apprendre à se démarquer des autres, prendre des risques pour chaque grande occasion de vie.

2. Lorsque vous échouez, n’échoue pas la leçon : il ne faut pas craindre l’échec, mais bien apprendre de nos erreurs. Rien de grand ne s’est accompli sans échec. Notre but n’est pas d’être parfait, mais le meilleur que nous pouvons l’être. Les seules vraies erreurs sont celles que nous faisons à répétition. Les autres sont surtout un moment pour apprendre.

3. Suivez les trois R : Respect de soi, respect des autres et responsabilité pour toutes nos actions. Il faut avoir confiance en soi si nous voulons être en mesure de faire confiance aux autres. Faire confiance aussi aux autres, ils vous le rendront avec un respect mutuel et finalement nous sommes responsables de ce qui nous arrive. Nous contrôlons totalement notre vie, il ne faut pas blâmer les autres pour des erreurs et malheurs.

4. Rappelez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance : si vous n’êtes pas capable d’obtenir quelque chose, il faut savoir lâcher prise et revenir plus tard. Il faut savoir faire confiance à l’Univers qui agit mystérieusement.

5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement : les règles sont faites pour être transgressées. Mais il faut savoir comment le faire correctement. Si l’autorité n’avait pas été remise en question, notre civilisation serait stagnante.

6. Ne laissez pas une petite dispute briser une grande amitié : l’amitié est ce qu’il y a de plus important. Il faut être en mesure de suivre la règle #7 pour bien suivre la #6

7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger : ne laissez pas votre orgueil faire obstacle. Apprenez à pardonner et à prendre les responsabilités. Cela en dira long sur votre personne.

8.Passez un peu de temps seul chaque jour : passez au moins 30 minutes de votre journée dans un endroit calme. Cela vous permettra d’observer ce qui se passe dans votre vie. Prendre conscience de ce que vous voulez.

9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s’envoler vos valeurs : Le monde évolue toujours. Si vous n’êtes pas ouvert à ça, vous serez malheureux. Il faut être capable d’accueillir ce qui est nouveau, sans jamais changer les parties importantes de nous-mêmes. Sauf si vous avez de bonnes raisons de penser que vous aviez tort d’y croire.

10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure réponse : le silence est d’or. Cela ne sert à rien de riposter dans une dispute. Le silence permettra de mettre fin à cela beaucoup plus rapidement.

11. Vivez votre vie avec honneur : lorsque vous serez vieux, vous allez regarder en arrière et être en mesure d’en profiter une seconde fois. Ne pas vivre dans le regret et l’angoisse, mais bien avec honneur. Les bonnes choses viennent et les bonnes personnes aussi. Vous ne serez jamais puni d’avoir agi avec intégrité.

12. Une atmosphère d’amour dans votre maison est le fondement de votre vie : la règle où nous avons le moins de contrôle. Si vous respectez votre famille, ils vous respecteront à leur tour. Faire régner l’amour dans la maison amènera une base solide dans la vie de vos enfants.

13. Lorsque vous êtes en désaccord avec les êtres chers, concentrez-vous uniquement sur le présent : le passé ne peut pas être modifié, cela ne fait qu’apporter plus de douleurs. Il faut apprendre à se concentrer sur le présent.

14. Partagez vos connaissances : on en apprend beaucoup dans une vie. Partagez le plus possible, cela ne peut que les aider. Partagez vos exploits, mais aussi vos échecs, pour que les autres puissent apprendre pour ne pas répéter les mêmes erreurs.

15. Soyez doux avec la terre : blesser la terre, c’est se blesser soi-même. C’est l’endroit où nous vivons, alors il faut en prendre soin.

16. Une fois par an, aussi souvent que possible, allez quelque part où vous n’êtes jamais allé auparavant : découvrir de nouveaux lieux et de nouvelles choses. Toujours explorer le plus possible. Peut-être que quelqu’un quelque part vous rendra plus heureux?

17. Rappelez-vous que la meilleure des relations est celle dans laquelle votre amour pour l’autre dépasse vos propres besoins : l’inverse pourrait être un indice que la relation doit se terminer. Si vous avez besoin de quelqu’un plus que vous l’aimez, c’est un signe de dépendance, pas d’affection. Trouvez quelqu’un pour qui l’amour est la force dominante. Cela fera que la relation est plus épanouissante.

18. Jugez vos réussites d’après ce que vous avez eu à renoncer pour y arriver : Concevez voter vie idéale et foncez. Ne laissez pas votre rêve s’échapper. Comme ça, vous ne serez jamais dans le regret. Soyez capable de saisir les occasions d’apprentissage et les opportunités qui se présentent à vous. Si vous voyez une expérience négative comme une mauvaise nouvelle, elle aura un impact négatif. Mais vous pouvez voir cette expérience comme une occasion d’en ressortir grandi.

Colliger sur : http://bit.ly/1koZlkL