25 août 2013

Le revenu de base : un nouveau droit humain

Déclaration universelle des droits de l'homme

Article 25
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

À propos du revenu de base... voyez comment la population européenne s'organise et démontre le sérieux de l'affaire, ne soyons pas en retard sur l'Europe, visionnez le vidéo et si vous êtes d'accord parlez s'en à tous ceux qui vous entourent :

http://youtu.be/pZOUv5QQMz0

source « Déclaration universelle des droits de l'homme » : http://www.un.org/fr/documents/udhr/ 

21 août 2013

SIGNEZ CETTE PÉTITION



SIGNEZ CETTE PÉTITION
Au gouvernement du Nouveau Brunswick, nous demandons le maintien des conditions pour une main-d'œuvre bilingue de 50% dans la fonction publique, suite aux sorties médiatiques de certains groupes et individus, qui se prononcent contre la dualité linguistique ainsi que le bilinguisme institutionnel qui fait la fierté de notre province bilingue.


http://www.avaaz.org/fr/petition/Maintenir_les_acquis_des_Acadiens_du_Nouveau_Brunswick/?ctpwfdb

18 août 2013

Le criminel c’est l’électeur

Écrit en 1906:
Le criminel c’est l’électeur
Par : Albert Libertad

Je me suis permis d'ajouter cette photo que je trouvais pertinente au texte. AL


L’Anarchie, 1er mars 1906

C’est toi le criminel, ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.

Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?

Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.

Où en a-t-il été et comment pourrait-il en être autrement ? Les gouvernés sont des subalternes et des exploités : en connais-tu qui ne le soient pas ?

Tant que tu n’as pas compris que c’est à toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras, - par crainte,- et que tu fabriqueras toi-même, - par croyance à l’autorité nécessaire,- des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est-ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ?

Tu te plains de la police, de l’armée, de la justice, des casernes, des prisons, des administrations, des lois, des ministres, du gouvernement, des financiers, des spéculateurs, des fonctionnaires, des patrons, des prêtres, des proprios, des salaires, des chômages, du parlement, des impôts, des gabelous, des rentiers, de la cherté des vivres, des fermages et des loyers, des longues journées d’atelier et d’usine, de la maigre pitance, des privations sans nombre et de la masse infinie des iniquités sociales.

Tu te plains ; mais tu veux le maintien du système où tu végètes. Tu te révoltes parfois, mais pour recommencer toujours. C’est toi qui produis tout, qui laboures et sèmes, qui forges et tisses, qui pétris et transformes, qui construis et fabriques, qui alimentes et fécondes !

Pourquoi donc ne consommes-tu pas à ta faim ? Pourquoi es-tu le mal vêtu, le mal nourri, le mal abrité ? Oui, pourquoi le sans pain, le sans souliers, le sans demeure ? Pourquoi n’es-tu pas ton maître ? Pourquoi te courbes-tu, obéis-tu, sers-tu ? Pourquoi es-tu l’inférieur, l’humilié, l’offensé, le serviteur, l’esclave ?

Tu élabores tout et tu ne possèdes rien ? Tout est par toi et tu n’es rien.

Je me trompe. Tu es l’électeur, le votard, celui qui accepte ce qui est ; celui qui, par le bulletin de vote, sanctionne toutes ses misères ; celui qui, en votant, consacre toutes ses servitudes.

Tu es le volontaire valet, le domestique aimable, le laquais, le larbin, le chien léchant le fouet, rampant devant la poigne du maître. Tu es le sergot, le geôlier et le mouchard. Tu es le bon soldat, le portier modèle, le locataire bénévole. Tu es l’employé fidèle, le serviteur dévoué, le paysan sobre, l’ouvrier résigné de ton propre esclavage. Tu es toi-même ton bourreau. De quoi te plains-tu ?

Tu es un danger pour nous, hommes libres, pour nous, anarchistes. Tu es un danger à l’égal des tyrans, des maîtres que tu te donnes, que tu nommes, que tu soutiens, que tu nourris, que tu protèges de tes baïonnettes, que tu défends de ta force de brute, que tu exaltes de ton ignorance, que tu légalises par tes bulletins de vote, - et que tu nous imposes par ton imbécillité.

C’est bien toi le Souverain, que l’on flagorne et que l’on dupe. Les discours t’encensent. Les affiches te raccrochent ; tu aimes les âneries et les courtisaneries : sois satisfait, en attendant d’être fusillé aux colonies, d’être massacré aux frontières, à l’ombre de ton drapeau.

Si des langues intéressées pourlèchent ta fiente royale, ô Souverain ! Si des candidats affamés de commandements et bourrés de platitudes, brossent l’échine et la croupe de ton autocratie de papier ; Si tu te grises de l’encens et des promesses que te déversent ceux qui t’ont toujours trahi, te trompent et te vendront demain : c’est que toi-même tu leur ressembles. C’est que tu ne vaux pas mieux que la horde de tes faméliques adulateurs. C’est que n’ayant pu t’élever à la conscience de ton individualité et de ton indépendance, tu es incapable de t’affranchir par toi-même. Tu ne veux, donc tu ne peux être libre.

Allons, vote bien ! Aies confiance en tes mandataires, crois en tes élus.

Mais cesse de te plaindre. Les jougs que tu subis, c’est toi-même qui te les imposes. Les crimes dont tu souffres, c’est toi qui les commets. C’est toi le maître, c’est toi le criminel, et, ironie, c’est toi l’esclave, c’est toi la victime.

Nous autres, las de l’oppression des maîtres que tu nous donnes, las de supporter leur arrogance, las de supporter ta passivité, nous venons t’appeler à la réflexion, à l’action [sic].

Allons, un bon mouvement : quitte l’habit étroit de la législation, lave ton corps rudement, afin que crèvent les parasites et la vermine qui te dévorent. Alors seulement du pourras vivre pleinement.

LE CRIMINEL, c’est l’Électeur !

Note : Texte colligé : https://www.facebook.com/groups/421256641259994/permalink/596416697077320/

L’UTILISATION POLITIQUE DU SYNDROME DE STOCKHOLM



Par François HARVEY, reporter, porte-parole du Mouvement des Québécois 
- le dimanche 18 août 2013 

SAINT-OURS, QUÉBEC-Le syndrome de Stockholm survient quand, après un certain temps de captivité, un otage ou un prisonnier se prend d’affection pour ses geôliers. Notre société, notre pays n’est pas libre. Il est sous le joug des puissances d’argent qui usent de leurs pouvoirs pour garder captive la main-d’œuvre dont il a besoin. Cette captivité s’étend lourdement dans le temps pendant toute la vie active des individus ainsi assujettis, période pendant laquelle la machine de propagande des tenants du réel pouvoir diffuse sa désinformation, de l’intoxication à destination de ses prisonniers. Ainsi, ceux-ci distinguent difficilement les chaînes qui les enserrent et qui en tient les bouts, mais savent néanmoins confusément qu’ils souffrent d’aliénation. Il demeure qu’ils n’ont pas de marge de manœuvre le long du chemin balisé pendant la semaine de quarante heures et les diverses contraintes et obligations dont ils font l’objet. Ainsi détenus au cœur même de la vie civile, ils en viennent néanmoins à éprouver de l’empathie pour les chefs qu’on leur propose, empathie dont bénéficient les oligarchies réelles détentrices du pouvoir.

Le syndrome de Stockholm, pour fonctionner, implique que l’assujettissement dure suffisamment longtemps pour faire cet effet. Pas de problème chez nous, l’état d’asservissement du peuple québécois dure depuis la Conquête, il est ancré dans nos mœurs et retransmis quasi-génétiquement générations après générations. Il permet de faire croire aux gens que les oligarchies éprouvent une réelle sympathie pour eux et qu’elles oeuvrent pour leur bien, alors que c’est tout le contraire qui se passe en réalité. Munis d’un vaste appareil médiatique, les possédants opèrent un véritable lavage de cerveau sur les masses, il embrouille la réalité et empêche de prendre conscience de la vérité.
Dès lors, comment en finir avec ce syndrome de Stockholm? Il convient d’abord de développer des moyens de communication qui attaqueront sans relâche l’image même des oligarques, de leur casser le portrait, de sorte qu’apparaisse leur véritable visage. Il importe de jeter une lumière crue sur leurs habitudes de vie, leurs visées, leurs actions, de diffuser le plus largement possible leurs turpitudes, et de le faire suffisamment longtemps pour que les gens reviennent à la réalité et veuillent reprendre en main leurs destinées. Il faut répéter les messages, varier la force des éclairages, désigner l’ombre des actions que les véritables geôliers du peuple projette sur le sol national, en dessiner les contours, et frapper sans relâche sur les oligarques de sorte qu’apparaisse leur véritable nature. Ainsi, les gens peuvent alors se secouer, se réveiller, en réveiller d’autres, et opérer un véritable mouvement transversal de libération.

Source : www.facebook.com/...

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15 août 2013

Le premier événement de la Fête de la république


Le mouvement Carré bleu a tenu une  activité pour créer la FÊTE DE LA RÉPUBLIQUE.

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